«Nous sommes surpris d’apprendre l’introduction d’une telle procédure, alors qu’elle concerne notre territoire, sur lequel nous avons des droits bien reconnus. Les autorités cries ne nous ont pas consultés, ni informés de cette démarche», affirme le chef de la Première Nation Abitibiwinni, David Kistabish, par voie de communiqué. Les deux communautés entendent utiliser tous les moyens à leur disposition pour protéger les droits ancestraux sur leurs terres. Ils feront notamment des représentations auprès des différentes autorités gouvernementales, à commencer par la Nation Crie. Cliquez ici pour lire l'article intégral de Martin Guindon - L'Écho/Le Citoyen, 10 mars 2016