Article intégral de de Guy Lacroix - L'Écho/Le Citoyen 26 mai 2015 « Le pow-wow est une fierté pour Pikogan, a lancé le chef Bruno Kistabish. À l’origine, c’est une demande de nos jeunes qui voulaient se réapproprier le tambour et les danses. Aujourd’hui, nos jeunes et même nos petits-enfants dansent comme nos ancêtres. Je suis très fier d’eux et c’est grâce à nos bénévoles qui organisent l’événement que c’est possible.» Organisé pour et par la communauté, le pow-wow vise aussi à faire rayonner la culture autochtone et le chef espère attirer le plus de monde possible.